Sceneries Christoph
Erb & Frantz Loriot Creative
Sources CS 356 CD
Avec
Sceneries,
le label Creative Sources poursuit sa vitale documentation des musiques
improvisées radicales mettant en valeur des artistes excellents, originaux,
voire rares. Très belle collaboration entre un saxophoniste chercheur et un
violoniste alto intense (ou l’inverse). S’inscrivant dans les territoires mis
au jour par Evan Parker et ses brillants émules (Urs Leimgruber, Michel Doneda,
John Butcher, Georg Wissel, Stefan Keune, Martin Küchen, Ariel Shibolet, sans
oublier les Guionnet, Denzler et cie…), lui aussi saxophoniste ténor et soprano
comme Evan et son compatriote Urs, le suisse Christoph Erb travaille sans relâche harmoniques, respiration
circulaire, bruissements de la colonne d’air, prises de bec, techniques
alternatives et mérite amplement qu’on l’écoute attentivement. C’est un souffleur
original dans un domaine surchargé de talents et de démarches individuelles
intéressantes. Ce qui rend ces Sceneries vraiment passionnantes se
fait sentir dans la qualité du dialogue, la profondeur de la recherche et à
travers les équilibres que lui et son comparse altiste, Frantz Loriot, réussissent à atteindre. La fureur, la rage et le
complet détachement du duo dans Annoyed hibernation et son
prolongement avec Tincture, nous ramènent à l’esprit et l’urgence qui animaient
Evan Parker jeune et le Doneda atteignant la maturité. Le dernier morceau
montre qu’il continue à chercher de nouvelles sonorités et de nouvelles idées
en les combinant avec succès. Frantz
Loriot fait partie de cette jeune génération radicale qui a défini l’usage
de l’alto (violon « plus grave ») et la mise en avant des
spécificités sonores de cet instrument : après la flamboyante Charlotte
Hug, suivent Benedict Taylor et Frantz
Loriot et il y en a d’autres. Frantz fait exploser le timbre, étire les
sons, tord la tessiture, sature les frottements d’harmoniques irréelles. Dans
les mains d’un expert tel que F.L., le violon alto est devenu un instrument
idéal pour faire éclater les sons à l’égal du saxophone poussant/ inspirant le
saxophoniste à explorer de plus belle. Donc je vote sans hésitation pour ces
deux improvisateurs, autant pour chacun d’eux séparément que pour l’entité
vraiment remarquable qu’ils forment dans cet enregistrement en duo. Il faut suivre
Christoph Erb et Frantz Loriot car
ils nous persuadent déjà qu’ils iront encore plus loin en atteignant sans doute
la plénitude de leurs aînés cités plus haut et de l’ombre desquels ils
parviennent à s’imposer. Superbe album à mettre dans la série des albums
en duo à recommander !!
(PS,
j’ai un album de Frantz Loriot chez FMR que je vais aller réécouter d’ici peu.)
Transferration Muche Hein
7000 Eichen Nach Joseph Beuys
Jazzwerkstatt 174
Enregistrement
dynamite entre un tromboniste puissant faisant plus qu’évoquer les Hannes
Bauer, Albert Mangelsdorff disparus et les outrances du Gunther Christmann de
l’ère FMP et un guitariste noise tout
aussi outrancier que virulent, Transferration ouvre avec un brûlot
pétaradant (Stahlwille). Dès le deuxième morceau, Matthias Muche, étoile montante du trombone free, étire les sons et
gargouille des borborygmes, faisant sursauter les timbres avec une sonorité
grasse à souhait et un usage immodéré d’une singulière sourdine. La guitare
destroy de Nicola L. Hein sature,
stridente comme un moteur au bord de l’éclatement (Zwitschern), surmultipliant
effets et décibels. Dick Vermummt nous fait découvrir une alternance de subtils
effets de souffle et de multiphoniques contrarié par l’ostinato noise de la
six-cordes martyre et laquelle se transmue dans un dialogue fascinant, le
guitariste percutant comme un dératé et le tromboniste écartelant la colonne
d’air en soufflant de plus belle. Ces trois premiers morceaux proviennent d’une
séance studio. C’est à la Kunstlerhaus de Saarbrücken qu’ils poussent le
bouchon encore plus loin dans les échanges expressionnistes – catégorie « réfléchi » (Kunstlerhaus I & II)
tout en devenant au fil de ces 23 minutes plus lyrique (Muche) ou subtilement
sonique (Hein). À recommander et deux musiciens à suivre….
dig a ditch and get in Sarah Gail Brand – Morgan Guberman Regardless 02
Autre
tromboniste, autres mœurs. La tromboniste Sarah
Gail Brand est ici confrontée à l’expression vocale, phonétique et poétique
du californien Morgan Guberman, le
contrebassiste de la bande à Gino Robair, John Shiurba, Tom Djll… C’est un peu
par hasard que Morgan Guberman s’est mis à chanter (slammer, éructer, vociférer
et tout cela à la fois) un soir dans un lieu en Californie. Surréaliste. Un album mémorable est paru chez Emanem (Ballgames
& Crazy). Je présente mes excuses à la musicienne autoproductrice pour
n’avoir pas remarqué ce deuxième numéro de son label Regardless alors que je
m’étais juré de la suivre à la trace. Voici qui est fait ! Issue de la
tradition du jazz, tromboniste – chanteuse de l’embouchure, Sarah Gail Brand se révèle aussi
lyrique et inspirée que son collègue est excentrique. Il n’y a d’ailleurs que
des improvisateurs britanniques pour s’allier avec un artiste aussi
particulièrement délirant pour créer un dialogue unique en son genre. Il y a
fort à parier qu’un tromboniste allemand ou français n’aurait pas vaincu ses
réticences et une forme d’a priori, conséquence d’un profond sérieux en matière
de musique. Ce qui peut desservir une démarche musicalement intéressante se
révèle parfois dans ce sérieux appliqué, générateur d’une relative morosité … (académique ?).
Inspirée par l’invention verbalo-vocalique, les glossolalies et les déguisements
ultra-réalistes ou tout-à-fait fantaisistes de l’organe vocal de Morgan Guberman, la tromboniste laisse
transparaître son imaginaire, son amour des sonorités, une poésie de l’instant.
Le vocaliste – poète (?) signe ici une performance peu commune. On nage
dans le trombone tout autant que si on se tapait des heures avec le Gentle Harm of the Bourgeoisie et le Old Moers Almanach du grand Paul
Rutherford, le fantôme délirant d’Hannes Bauer ou le pointillisme exploratoire
de Gunther Christmann. On n’estimera jamais assez le rôle incontournable des
trombonistes de la free music européenne dans le développement de la libre
improvisation et, avec son collègue Paul Hubweber, Sarah Gail Brand est, à mon avis, une des trombonistes les plus
idiosyncratiques. Cette idée d’associer trombone et voix humaine de la sorte
est une des meilleures qu’on puisse avoir pour ne pas s’ennuyer et le culot de
ces deux artistes est à la hauteur de leur talent individuel et de la
pertinence des combinaisons sonores dans lesquelles ils se risquent, car ce
n’était pas donné d’avance. Energie, douceur, folie, écriture automatique,
logique, exploration sonore, dialogue, expression, équilibre en péril constant :
ces deux artistes ont tout bon.
Duets 71977 Evan Parker & Andrea Centazzo Ictus 178
Il
y a au moins deux décennies qu’Evan
Parker est devenu une valeur sûre de l’impro-jazzosphère et de la musique
(sérieuse ?) d’aujourd’hui. Il fut un temps où il était l’outsider numéro
un, même par rapport à des artistes clés et chefs de file de l’avant-garde
comme Lacy, Braxton, Mitchell etc… Et en France, un trouble-fête du free
d’obédience afro-américain et du folklore imaginaire, même si Michel Portal ne
tarissait pas d’éloges. Apparu à Londres vers 1966, Evan Parker, en s’associant principalement au guitariste Derek
Bailey et au percussionniste Paul Lytton, s’est affirmé comme LE saxophoniste de la
libre improvisation radicale en révolutionnant la pratique du saxophone et en révélant
au public de l’époque les mystères sonores du saxophone soprano. Quasi
disparition de la mélodie conventionnelle, même dodécaphonique ou sérielle,
transformation radicale du son et du timbre en introduisant systématiquement le
bruit par des effets de vocalisation, des harmoniques produites de manière
dirais-je acrobatique, des coups de langue sur l’anche ultra rapide, des
doigtés fourchus permettant de produire simultanément plusieurs sons en
modifiant la pression des lèvres et de la colonne d’air en une fraction de
seconde. En croisant ces techniques et ces sons, il entrait dans un univers
inouï qui faisait dire aux commentateurs lucides qu’Ornette et Shepp c’était en
fait pas très éloigné du be-bop. Cette démarche singulière était projetée dans
l’espace acoustique avec une volatilité extrême et, bien entendu, la respiration
circulaire lui permettait d’allonger ses phrases à l’envi. C’est d’ailleurs
John Zorn qui a écrit les notes de pochette, tant Evan Parker fut pour ce
musicien une influence fondamentale. Écoutez The Classic Guide of Strategy, l’album solo de Zorn de 1985 et
comparez avec les Saxophone solos de
1975 de Parker et vous comprendrez. Aujourd’hui, Evan Parker a réactualisé et
recontextualisé ses pratiques dans une vision plus lyrique (post-
coltranienne ?) avec une musicalité extraordinaire et une technique
instrumentale insurpassable. Une extrême
lucidité et une spontanéité naturelle. On devine bien que, chez les amateurs
passionnés ou même les sélectionneurs prudents, la pile de cd’s d’Evan Parker peut se révéler imposante.
Pourquoi achèterions-nous encore un nouvel album d’Evan Parker, alors que nous
en avons à toutes les sauces ? Avec Barry Guy et Paul Lytton, le trio
Schlippenbach avec Lovens, son Electro Acoustic Ensemble, Mark Sanders et John
Edwards, Moholo, Edwards et Beresford, les pianistes Georg Gräwe, Matt Shipp,
Uwe Oberg, Agusti Fernandez, Sylvie Courvoisier et Misha Mengelberg…. Wachsmann
et Hauta-Aho… On en a le tournis. Simplement, parce qu’en 1975/76/77, Evan
Parker était dans une phase sonore spécifique de son évolution durant laquelle
il faisait exploser son saxophone soprano et que cette démarche a eu une
influence, ou autrement, a présupposé qu’une autre démarche était possible,
poussant la logique inhérente à celle des Coltrane, Dolphy, Ayler, Sanders le
plus loin possible créant ainsi un nouvel univers, pour l’éclosion de toute une
école de saxophonistes radicaux la plupart extrêmement talentueux. Zorn et
Gustafsson bien entendu, mais surtout Michel Doneda, Urs Leimgruber, Larry
Stabbins, Daunik Lazro, John Butcher, Stefan Keune, Martin Küchen, Georg
Wissel, Jean-Luc Guionnet, Christoph Erb et bien d’autres. Même un artiste
aussi foncièrement original et plus âgé comme Lol Coxhill a changé sa propre trajectoire
esthétique dans l’orbite de l’attraction parkérienne. Sans doute, c’était dans
l’air du temps. Mais peu d’instrumentistes de premier plan se révèlent aussi
incontournable et définissent autant cette démarche radicale. À l’époque, peu
d’enregistrements révélateurs ayant servi de manifeste furent (auto-) produits,
et en outre, sur des labels indépendants disponibles en import (Incus). On peut
citer l’album solo de 1975, (Saxophone
solos, Aerobatics 1-4), un duo avec Derek Bailey (The London Concert), trois volumes du duo avec Paul Lytton (Collective Calls, Live at Unity Theatre et Ra
1+2), trois albums avec le Schlippenbach Trio ou Quartet, Music Improvisation Company chez ECM, le
légendaire Topography of The Lungs et,
bien sûr, The Longest Night, un album
fortuit et magnifique en duo avec John Stevens, le mentor de ses débuts (1977
et disponible en double album CD chez Ogun, couplé avec un duo de 1993). Plusieurs
de ces albums (les Incus, en fait) ont été réédités par son label Psi, mais ils
se sont quasi tous vendus jusqu’au dernier. On peut se les procurer en les
achetant en seconde main via Discogs
avec parfois des prix prohibitifs. Les vinyles originaux sont bien sûr
avidement recherchés et pour les plus âgés d’entre nous, il fallait consacrer du
temps pour parvenir à les acquérir. Idem, les deux albums Company 1 et 2, en
trio, publiés par Incus en 1977. Très vite, dès Monoceros en solo (1978) et le trio avec Guy et Lytton dès 1983 (Tracks, non réédité à ce jour), Evan
Parker évolue vers une conception plus universelle de la musique, le
rapprochant de Coltrane et même des subtilités d’un Warne Marsh. Donc, si vous
voulez découvrir l’Evan Parker bruitiste
des années 1970, qui est pour beaucoup actuellement, the Dark Side of the Moon de sa carrière, cet album est hautement
recommandé pour que vous puissiez entrer dans ces arcanes révélateurs d’un
univers disparu où la sophistication du jeu rencontre à la même intensité
l’expressionnisme exacerbé. Une violence inouïe rendue encore plus active avec
le contraste ahurissant d’avec les harmoniques ultra aigus si difficiles à
produire, surtout à cette vitesse d’exécution. Il y eut Ayler, et puis, Evan
Parker. Cela reste toujours aussi inouï et extraordinaire qu’à l’époque, même à
quarante années de distance. Physiquement, au soprano, le saxophoniste le plus
convaincant dans cette démesure sonore est Michel Doneda et c’est une honte que
ce musicien ne soit pas autant sollicité que d’autres collègues qui semblent
perpétuellement en tournée. Plus que çà, tu meurs. Donc avec ces duets de 1977,
vous oublierez Gustafsson. Même si deux ou trois pièces live de Duets 71977 révèlent un son cassette, on
a droit a quelques morceaux enregistrés clairement en studio et, surtout, on
trouve dans la personne du percussionniste Andrea
Centazzo, un musicien complètement en empathie et qui fait sienne la
démarche révolutionnaire du saxophoniste britannique. A l’époque, un des rares
musiciens qui fassent jeu égal avec EP. Utilisant des live-electronics pour
compléter sa palette, Centazzo, un élève brillant du grand Pierre Favre, est alors
un des rares percussionnistes radicaux qui se démarquent totalement de la
batterie d’essence jazz « même
free » en amortissant par exemple, la résonance des peaux en couvrant
celles-ci d’ustensiles : cymbales chinoises, gongs, woodblocks, claves,
crotales et jouant dans le registre aigu et modifiant les sonorités
conventionnelles, abolissant la frontière entre le son musical et le bruit
instrumental à l’instar du saxophoniste. Considérant que cet enregistrement
d’époque fait partie d’une phase indispensable de sa propre évolution, Andrea Centazzo a tenu à exhumer ces
bandes pour notre édification. Si ce percussionniste a tenu un rôle épisodique
dans l’évolution quotidienne de l’improvisation libre durant les années
septante, sa contribution fut réellement essentielle, inaugurant en compagnie
de Steve Lacy, Derek Bailey, Evan Parker, Carlos Zingaro, Eugene Chadbourne,
Toshinori Kondo, etc… de nombreux lieux dans l’Italie profonde et déflorant
ainsi un nouveau public avec cette nouvelle musique, alors révolutionnaire. Il
fut aussi le premier artiste européen à travailler avec John Zorn et Eugene
Chadbourne. En outre, il produisit des albums révélateurs sur son label Ictus. Sautez
à pieds joints, le Splasc'h vaut largement la peine.
Tie
The Stone To The Wheel Evan
Parker & Seymour Wright Fataka 12.
Certains
labels de musique improvisée s’enrayent, ralentissent leur production,
arrêtent, disparaissent et d’autres naissent et prennent vie. Parmi les nouveaux
venus, Fataka nous offrent des
choses pointues et audacieuses à l’écart des sentiers battus. Beau témoignage
de cette activité ce duo d’anches remarquablement équilibré entre deux
improvisateurs aux moyens inégaux mais focalisés sur l’essentiel. Si la très
grande majorité des lecteurs de ce blog connaissent Evan Parker pour l’avoir entendu en public ou à travers le disque
depuis quelques années ou quelques décennies, beaucoup ignorent tout de Seymour Wright... Je dois dire que moi même je
n’arrive plus à retracer le nombre des concerts d'E.P. auxquels j’ai assisté, en
Belgique ou à Londres ou parfois même ailleurs. J’ai découvert le saxophoniste
alto Seymour Wright, il y a plus
d’une dizaine d’années en compagnie d’Eddie Prévost, le percussionniste d’AMM et
du pianiste Sebastian Lexer avec qui il a enregistré Blasen, un excellent album en duo. Pas étonnant de retrouver ces deux saxophonistes face à face vu la
proximité des ces deux artistes avec Eddie Prévost. On connaît l’implication de
Seymour Wright dans cette discipline
austère et rigoureuse au sein de la nébuleuse AMM, étant lui-même un des
improvisateurs les plus impliqués (avec Lexer) auprès de Prévost. Ici Seymour
souffle « franc jeu » en utilisant les ressources expressives de son
sax alto de manière à créer une contrepartie logique, naturelle et charnue au
jeu physique et expressif de son collègue, lequel est sans doute un des
saxophonistes les plus impressionnants sur cette planète tant par les moyens
musicaux que par sa technique absolument extraordinaire. Et j’aime vraiment
beaucoup leur dialogue, car Evan joue superbement bien tout en se mettant au
diapason de Seymour au niveau émotionnel
et qualité du son. Celui-ci altère et modifie constamment le timbre de son
instrument par tous les moyens qu’il lui est possible et c’est avec grand
plaisir qu’on goûte à l’infinité des détails sonores tout au long des cinq
improvisations enregistrées au Kernel Brewery le 5 octobre 2014 et à The
Studio, Derby, une semaine plus tard. Ils mettent en valeur la musique l’un de
l’autre de manière vraiment remarquable via une qualité d’écoute mutuelle très
exercée. Plus qu’une simple rencontre pour
voir ce qui va se passer, il s’agit d’un vrai duo qui fonctionne pleinement
entre deux saxophonistes que rien ne sépare, si ce n’est les générations. Et
c’est bien la seule chose qu’on n’entend pas ici. Une belle réussite. Les seuls
autres albums en duo d’Evan Parker
avec d’autres saxophonistes (à ma connaissance) sont Duo London 1993 avec Anthony Braxton, Twines avec Urs Leimgruber, Monkey
Puzzle et Live At Roulette avec
Ned Rothenberg et j’aime tout autant Tie The Stone que ces derniers.
C’est dire la qualité de ce duo.
Autres duos d'EP avec des saxophonistes (Lacy, Coxhill, Koch, McPhee) : CHIRPS, THREE BLOKES, DUETS DITHYRAMBISCH, CHICAGO TENOR DUETS, IF THEY BOTH COULD FLY
RépondreSupprimerOui Chirps que j'ai écouté ... il y a longtemps c'est remarquable et Evan joue le jeu du dialogue dans l'esprit Lacyen ... fantastique !! ... Le duo Coxhill Parker auquel votre remarque fait allusion est une pièce en duo d'une vingtaine de minutes dans une album où il y a aussi des duos EP / Lacy et Coxhill Lacy , si je me souviens ... bonne idée je vais réécouter cela.. Lol Coxhill m'a déclaré que c'est un des ses albums dont il est le plus fier.. . Je n'ai pas écouté les duos avec Mc Phee sur Okka faute d'avoir pu l'acheter. Et je n'écris que sur les enregistrements que j'ai écoutés. Il y a tellement longtemps que je n'ai plus écouté Duets Dithyrambisch qui contient le duo E Parker / Klaus Koch , que je préfère ne pas le mentionner ne me souvenant plus de l'impression reçue .... ... Le duo avec Mc Phee ... if they both could fly : je n'ai pas écouté cet album , faute de ne pas l'avoir eu en mains .... et donc, je n'écris pas sur quelque chose que je n'ai pas écouté .... voilà
SupprimerEP + McPhee ? (Okka)
RépondreSupprimerEP + Lacy ? (FMP)
EP + Koch ? (FMP)